De la soumission au candaulisme

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il y a 4 ans

Une histoire érotique de soumise devenant maîtresse et cuckold

Je m’appelle Michel. J’ai trente-huit ans et deux e n f a n t s. En couple pendant dix ans avec ma compagne Jade, je suis maintenant séparé. Si je me décide à écrire mon histoire aujourd’hui, c’est que j’ai besoin de mettre noir sur blanc le déroulement des faits qui vont suivre, afin de me libérer du passé… Ou tout du moins de l’exorciser un peu. Difficile en effet de me confier à quelqu’un sur ce qui s’est passé, la honte, l’excitation et la peur du jugement étant des caps difficiles à franchir.

J’ai rencontré Jade il y a donc un peu plus d’une décennie. Nous n’avions que peu de points communs en réalité, hormis le sexe. C’est une grande brune d’1,76 m, mate de peau, 57 kg, de jolis seins, de longues jambes, une taille fine, et surtout un cul à faire bander n’importe quel homme normalement constitué. La première fois que je l’ai vue, c’était de dos et son fessier m’a tout de suite conquis. Nous avions de plus des fantasmes en commun. Dès le premier soir, elle entreprit de me sucer et tout de suite m’invita à l’attr a p e r par les cheveux pour lui f o r c e r la bouche.

Des rapports de domination s’installèrent très vite entre nous. Dès notre troisième ou quatrième soirée ensemble, je décidai de lui faire passer un genre de test. En quelques minutes, elle s’était retrouvée nue au milieu du salon, à quatre pattes, un verre de whisky et un cendrier posés sur le dos, à faire la table basse pendant que je regardais la télé. Ce soir-là, elle dut faire le service pour moi, passer la serpillière à quatre pattes, et je lui fis visiter la maison et la baisant dans chaque pièce, dans toutes les positions. Vers le milieu de la soirée, je lui enfonçai également un concombre dans le cul, puis l’enculai. Elle adorait ça, mais m’avoua plus tard ne pas trouver beaucoup d’hommes aptes à « l’honorer par-derrière ». Pas besoin d’être sorti de Saint-Cyr pour comprendre que j’avais déniché une véritable petite chienne, jeune (elle avait à l’époque vingt et un ans et moi vingt-cinq), que je pourrai dresser à ma guise.

Je sortais alors tout juste d’une relation de cinq ans, et mon ex n’était pas vraiment portée sur ces fantasmes. J’étais frustré et passais une grande parte de mon temps à regarder des photos de BDSM sur internet. Autant dire que je plongeais littéralement dans cette nouvelle aventure, avec la soif d’assouvir toutes mes pulsions les plus primaires. Jade en redemandait. Les premières semaines, je la baisais trois fois par jour. Elle hurlait son plaisir dans le petit deux-pièces que nous avions pris. J’appréciais plus que tout de pouvoir la prendre sans retenue, quand je voulais. Elle avait tout le temps envie et en redemandait. Lors de nos premières vacances, ce fut un véritable feu d’artifice. Je la baisais jusqu’à sept fois par jour. Je ne me préoccupais que de mon plaisir, et ça la faisait jouir. Elle me disait tout le temps :

— Je suis ton vide-couilles, fais-toi plaisir.

Très vite, elle eut un collier autour du cou, puis une laisse. Seule ombre au tableau, elle était très jalouse et assez dépendante. Elle ne voulait rien faire toute seule, et supportait mal que je puisse avoir une vie en dehors d’elle. Elle avait beau être soumise sexuellement, elle avait son petit caractère, mais les choses s’arrangeaient toujours sur l’oreiller.

Assez rapidement, je lui proposai l’idée de faire un blog pour « exposer » aux internautes avertis ses « exploits ». Elle approuva l’idée et notre nouvel univers se mit en place tout naturellement. Les commentaires sur le blog rajoutaient un plus indéniable à notre libido. Avec un lectorat composé à 90 % de mâles plus ou moins frustrés et surtout excités, les commentaires salaces ne manquaient pas. Jade adorait les mots crus et se sentait importante d’être ainsi observée, commentée, adulée par certains. Il est vrai que je n’étais pas très expressif. Avec le recul, je dois avouer que je n’étais pas (fou) amoureux d’elle, mais à vingt-cinq ans et quelques déconvenues amoureuses, je ne croyais plus trop à l’amour. Je pensais que tant que le sexe allait, tout roulait.

Et ce fut le cas pendant les années qui suivirent.

De mon côté, je faisais de belles photos et prenais le temps d’écrire nos expériences. La plastique de Jade et sa perversité faisaient le reste. Tous les trois jours, nous mettions une nouvelle photo ou vidéo sur le blog, toujours avec les visages cachés, évidemment. Séance de martinet, des objets dans l’anus, séance de baise, humiliations diverses, douches dorées… Tout ce qui nous excitait de près ou de loin, on le réalisait.

Par deux fois, nous rencontrâmes un internaute particulièrement friand de Jade et du blog, qui s’appelait Dominique. J’avais envie d’ajouter une dimension psychologique à nos fantasmes avec de l’exhibition publique. La première fois, ce fut dans une chambre d’hôtel. Je l’exhibai avec un bandeau sur les yeux et l’homme en question put la peloter et lui jouir sur le cul. Elle le branla également. Je me rappelle au début de la séance lors de sa présentation. Elle était trempée. La deuxième fois fut un peu plus poussée, il eut le droit de se faire sucer avec une capote, mais nous n’allions pas jusqu’à la pénétration. Jade ne voulait pas, et je voulais également que cela reste un jeu… Il fallait de plus, ne pas aller trop vite. Malgré son côté très chienne, elle tenait à n’appartenir qu’à un seul homme.

Puis, au bout de cinq ans, nous eûmes notre premier e n f a n t . Cela chamboula tout dans notre couple. J’étais aux petits soins pour notre progéniture et évidemment, notre libido baissa quelque peu. L’assiduité à la tenue du blog s’en ressentit également. Jade me reprocha assez vite de plus m’occuper de mon fils que d’elle. Pire, le blog n’étant plus mis à jour, elle n’avait plus sa « cour » d’admirateurs pervers. Les choses se régulèrent tout de même plus ou moins bien par elles-mêmes, et deux ans plus tard, notre deuxième e n f a n t arriva dans la famille. Et là deux e n f a n t s, ce n’était plus la même histoire.

Nous nous adaptions tant bien que mal, mais f o r c e est de constater que nos rapports se détérioraient en avançant avec le temps. Nous n’avions quasiment plus de temps pour nous occuper de notre couple. La soumission, n’en parlons pas. Jade le vivait mal et me le reprochant sans cesse. De mon côté, je m’évadais sur internet en découvrant un nouveau fantasme : le candaulisme. Voir sa femme avec un autre. C’était quelque chose qui m’excitait déjà, mais dans le cadre d’une relation dans laquelle j’étais le dominant. Depuis plusieurs mois (depuis plus longtemps en réalité, je pense), l’envie d’être soumis, de passer de « l’autre côté du miroir » me démangeait également. J’en avais parlé à ma femme et nous avions essayé, mais ce n’était pas trop son truc. Elle préférait de loin être un objet de désir, qu’une dominatrice.

Un après-midi de juillet, à la suite d’une énième dispute, et afin d’essayer d’améliorer notre situation, je lui avouai mon fantasme de candaulisme. C’était l’un des avantages de notre couple. Sexuellement, nous pouvions parler de toutes nos envies (malheureusement, pour les autres sujets, ce n’était pas aussi facile). Elle m’écouta, mais fut totalement décontenancée et ne comprit pas que je puisse être excité à l’idée de la voir avec un autre homme. Pour lui faire comprendre ma démarche, je lui expliquai que ce serait pour elle l’occasion d’explorer sa libido d’une façon nouvelle, que j’acceptais de m’occuper davantage des tâches ménagères et de m’occuper des e n f a n t s, et que nous pourrions inverser les « rôles ». Je serais son soumis, et elle la Maîtresse. Elle conclut la discussion en me précisant qu’elle m’avait entendu, qu’elle trouvait ça malsain, mais que nous aurions l’opportunité d’en reparler.

Bref, je n’étais pas beaucoup plus avancé, mais ma démarche avait eu le mérite de calmer un peu les choses, et Jade prit tout de même les éléments qui l’intéressaient dans ma proposition : elle se déchargea de certaines tâches ménagères, en fait surtout ce qui concernait les e n f a n t s. Elle sortait souvent le week-end, pendant que je restais à faire le baby-sitter.

Durant un an, je lui téléchargeai des histoires sur le candaulisme et le cocufiage, lui montrai des photos légendées de situations excitantes, des vidéos. Petit à petit, la situation évolua. Au bout d’un an, elle sortit tous les week-ends. Cela restait entre copines, mais elles allaient souvent en boîte de nuit. Je l’encourageais à prendre des numéros de téléphone de mecs qui lui plaisaient, mais elle refusait toujours, me disant qu’elle n’était pas prête. De plus, elle était avec ses copines et ne voulait pas passer pour une « salope » auprès d’elles. Elle me racontait cependant que beaucoup de mecs venaient l’aborder (d’autant qu’elle sortait souvent en tenues très sexy). Elle me donnait le nom des boîtes de nuit où elle allait, et j’allais en cachette consulter le compte Facebook des dites boîtes où des photos de soirées étaient mises en ligne. À chaque fois je trouvais trois ou quatre photos d’elle, discutant ou dansant avec une nuée d’hommes autour d’elle.

Je comprenais que j’étais sur la bonne voie pour lui faire accepter ce nouveau mode de vie qui lui permettrait de s’épanouir pleinement. Je continuai donc mon « travail » de documentation en lui proposant différents documents trouvés sur internet. Pour son anniversaire, je lui offris même le livre « comment dresser votre mari ». Ça l’amusa beaucoup, mais elle ne voulait toujours pas « se prendre la tête », comme elle disait, avec des histoires de domination. Je lui précisais bien également que si elle rencontrait quelqu’un ou que si elle se décidait à faire quelque chose, il fallait qu’elle me le dise, la communication étant la base de ce type de fantasme… Elle acquiesçait généralement d’une façon évasive.

Côté rapport sexuel, nous avions retrouvé un peu de stabilité, mais ils étaient beaucoup plus espacés qu’avant. J’aimais particulièrement qu’elle me caresse l’anus en me léchant le téton pendant que je me branlais. Elle le faisait de plus en plus souvent, en me racontant comment les mecs l’abordaient en boîte de nuit. Nous étions également inscrits sur un site de rencontres pour trouver d’éventuels amants. Elle regardait par curiosité, mais ne voulait pas y aller. De mon côté, je sélectionnais des hommes (sur leur physique et sur le feeling) en leur racontant mon fantasme, si éventuellement Jade voulait sauter la pas.

Ce premier pas vint finalement de sa part. Un soir, elle m’annonça qu’elle était prête à essayer l’histoire du candaulisme, mais elle voulait le faire avec notre contact sur internet que nous avions rencontré deux fois : Dominique. Elle ne l’avait jamais vu de ses propres yeux puisqu’à chacune de nos rencontres elle avait eu les yeux bandés. Mais elle avait confiance en lui et savait qu’elle l’excitait beaucoup. Je lui répondis que j’étais OK et nous lui envoyâmes un petit mail pour lui raconter notre fantasme. Cela faisait plusieurs mois (voire deux ou trois ans) que nous n’avions plus de nouvelles, mais il répondit assez vite, nous précisant qu’il était partant (tu m’étonnes !), mais qu’il n’était pas f o r c é ment toujours dispo, car marié. Après quelques mails, Dominique proposa qu’ils s’échangent leurs numéros de téléphone pour pouvoir discuter par texto. Au bout de deux jours, Jade était pendue à son portable toute la journée. Ils s’échangeaient des « sextos », comment elle aimait à dire. Elle me les faisait lire pour m’exciter. Ça lui plaisait beaucoup, et à moi aussi évidemment.

Il habitait assez loin et une rencontre n’était envisageable que dans plusieurs semaines du fait de nos emplois du temps respectifs. Cela leur laissait beaucoup de temps pour discuter. Je me trouvais cependant un peu mis à l’écart et décidais d’envoyer un mail à Dominique pour tenter d’assouvir mes envies de soumission avec ma femme. Je lui demandais de proposer à Jade de me dominer. J’avais envie de voir sa réaction à sa demande. Dominique accepta, trouvant l’idée excellente. Il s’était renseigné de con côté et comprenait que le candaulisme impliquait une relation psychologique à trois, chose que ma femme avait un peu tendance à oublier. Je lui proposai donc quelques fantasmes qui m’excitaient, et quelques phrases types qui, je pensais, marcheraient.

Deux jours plus tard. Je la vis sourire un soir en recevant un texto. Je lui demandai ce que c’était. Elle me répondit simplement :

— Tu verras bien.

Le week-end suivant, mes parents ayant pris les e n f a n t s, elle prit quelques affaires dans un sac et me proposa d’aller faire une balade en forêt. Sur la route, elle m’expliqua que Dominique lui avait demandé des photos de moi en soumis.

— Afin de voir si tu es un bon cocu, me dit-elle.

Je fis l’étonné et lui répondis qu’elle n’avait jamais voulu me dominer.

— J’ai changé d’avis, répondit-elle simplement.

À ces mots, je sentis mon sexe se durcir. Il avait fallu introduire une tierce personne pour qu’elle accepte de jouer les dominatrices. J’étais évidemment aux anges. Pendant le chemin, j’essayais d’analyser sa réaction. J’en conclus que ce qu’elle voulait, c’était avant tout faire plaisir à son futur amant et l’exciter. Pour en avoir le cœur net, je décidai de jouer les récalcitrants et d’en rajouter un peu.

Une fois arrivés dans la forêt, Jade trouva un coin tranquille et me dit de me déshabiller entièrement. Sans même avoir à y mettre de la mauvaise volonté, je lui répondis que nous étions début mars et qu’il faisait froid.

— Dominique veut une photo de toi à poil dans la nature, alors tu te fous à poil et tu ne discutes pas. Sinon moi j’arrête tout ton délire, le candaulisme, la soumission…

Je comprenais qu’elle était déterminée. À la fois excité, mais sentant que les choses pouvaient aller beaucoup plus vite (et loin) que je ne l’avais prévu, je m’exécutai. Elle sortit alors du sac son collier, me le mit autour du cou, y ajouta la laisse et me fit mettre à quatre pattes.

— Voilà, plus qu’une dernière chose, ajouta-t-elle.

Elle prit un marqueur et inscrivit quelque chose sur mes fesses. Elle accrocha la laisse à une branche et prit plusieurs photos avec son téléphone portable. Avant de repartir, elle me fit marcher à quatre pattes sur le sol froid et humide, recouvert de feuilles.

Le soir, elle me montra les photos, toute contente. Elle avait écrit « cocu » sur mes fesses. Elle les envoya à Dominique, qui ne tarda pas à répondre par texto.

« Très bien, ton mari est un bon cocu. »

Je lui demandai si je pouvais regarder les messages qu’ils s’étaient échangés. Elle me laissa son téléphone portable et alla se coucher. Il y avait tellement de SMS que deux heures plus tard, je n’avais pas encore tout lu. Cela alternait entre des dialogues ultra chauds (du genre « tu me suceras jusqu’aux couilles et après je te prendrai le cul à fond ») et des conversations plus classiques. Ils s’étaient échangé des photos aussi.

Très vite, une date fut définie pour la rencontre. Entre temps, nous réalisâmes quelques autres fantasmes excitants à distance. Comme de lui faire l’amour alors qu’elle était au téléphone avec Dominique. Pendant que je la baisais, il lui disait des mots crus. Ça l’avait beaucoup excitée. Une autre fois, alors qu’elle me caressait l’anus pendant que je me branlais, elle enfonça plus profondément ses doigts. Je lui fis comprendre qu’elle y allait trop fort, mais elle mit ses doigts dans ma bouche pour que je les humidifie, puis me bâillonna avec sa main et continua sa pénétration.

— Mon amant dit qu’un bon cocu doit avoir le cul ouvert, me chuchota-t-elle à l’oreille.

Je ne pus me retenir longtemps de jouir.

Enfin le jour J arriva. Dominique avait réservé une chambre d’hôtel au casino de sa région. Nous avions un peu de route pour y aller. Une fois arrivés, en fin d’après-midi, Jade se rendit chez une esthéticienne à côté de l’hôtel avec qui elle avait pris rendez-vous. Elle revint maquillée et coiffée comme une déesse. Puis nous allâmes boire un verre en ville et manger un morceau au restaurant. Une fois rentrés à l’hôtel, elle se changea avec une mini-jupe très courte et ultra sexy. Vers 21 h 30, elle reçut un texto disant qu’il arrivait. Ils devaient se retrouver devant le hall du casino. Elle descendit seule. Je restais dans la chambre à attendre. Ils ne revinrent qu’une demi-heure plus tard. Ils étaient allés faire un tour dans sa voiture pour se dire bonjour (elle me dira à la fin de la soirée qu’elle l’avait sucé dans la voiture et qu’ils avaient tellement envie qu’il l’avait « presque » pénétrée sur la banquette).

J’avais préparé la bouteille de champagne sur la table, pensant que nous allions nous asseoir et discuter un peu pour nous mettre dans l’ambiance, mais Dominique prit à peine le temps de me serrer la main que Jade était déjà sur le lit et qu’il l’embrassait à pleine bouche. Je leur demandai s’ils voulaient boire un verre. Ils me répondirent sans même me regarder :

— Non, on a envie d’autre chose.

En même pas dix secondes, ma femme était allongée nue sur le lit et il lui bouffait la chatte avec trois doigts à l’intérieur. Ils faisaient exactement comme si je n’étais pas là. Je branchai les caméras (j’avais prévu une GoPro et une caméra fixe, voulant imm o r t aliser ce moment. J’avais aussi un appareil photo). Deux minutes plus tard, Jade était à quatre pattes, Dominique enfila une capote et la pénétra sans plus de cérémonie.

J’imagine qu’elle devait être trempée, car il n’eut aucune difficulté à entrer en elle. Il l’attrapa par les hanches et commença à la pilonner sérieusement, lui attrapant les cheveux comme une chienne (il savait qu’elle adorait ça). Puis elle se mit sur le dos et il la prit en missionnaire pendant plusieurs minutes. Alors qu’elle criait sous les coups du boutoir, ils jouirent ensemble. Il retira la capote et me la donna le plus naturellement du monde. Ils restèrent allongés sur le lit un bon moment et ne refusèrent pas, cette fois-ci, la coupe de champagne.

Un petit quart d’heure plus tard, après cette première « saillie », Jade s’était mise à genoux sur le lit pour le sucer. Elle lui léchait les couilles et remontait sur le gland. Il l’attrapa par les cheveux pour lui faire avaler sa queue en entier. Au bout d’un moment, elle redescendit vers ses boules, puis alla de plus en plus bas, jusqu’à son anus. En quelques secondes, il s’assit sur sa bouche. Elle lui léchait le cul, comme elle aimait le faire avec moi. Sauf que je ne pensais pas qu’elle le ferait directement avec son amant, la première fois. Il lui pinçait les tétons pendant qu’elle « étouffait » sous lui. N’en pouvant plus, il lui envoya plusieurs copieuses giclées de foutre sur les seins, avec lesquelles elle se massa longuement le ventre.

Après toutes ces émotions, nous décidâmes d’aller boire un verre au bar du casino tous les trois. Évidemment, Jade était très tactile avec Dominique. Ils se tenaient par la main, et se roulaient des pelles dans l’ascenseur, mais également au bar. Les agents de sécurité et le personnel de l’hôtel-casino avaient bien compris ce petit manège. Je les entendais rigoler entre eux. Dominique nous paya un verre à tous les trois. Ils s’embrassaient à pleine bouche et il en profitait pour peloter Jade dans tous les sens, lui mettant la main sous la jupe. Je remarquai d’ailleurs qu’elle n’avait pas mis de culotte.

Au bout d’une petite demi-heure, ils me demandèrent de rejoindre la chambre et de les laisser en peu seuls. Je m’exécutai et les attendis pendant près d’une heure, tout seul. Je m’imaginais qu’ils avaient trouvé un petit coin tranquille. Si ça se trouve, il l’avait emmenée dans les chiottes pour se faire sucer ou la baiser contre une pissotière. Jade adorait les endroits insolites. Finalement, au retour, je ne pus m’empêcher de poser la question. Apparemment ils n’avaient fait que discuter. Je ne saurai jamais.

Ils remirent le couvert au total cinq ou six fois jusqu’à 3 h du matin, avant qu’il ne parte. Il la prit dans toutes les positions, notamment des positions que nous ne faisions jamais.

Je ne pus me retenir de jouir lors de leur avant-dernière fois. Jade se faisait alors baiser allongée sur le ventre. J’éjaculai une quantité de sperme impressionnante sur le carrelage de la salle de bains. Ils ne s’en rendirent même pas compte. Quand elle vit cela, Jade m’annonça :

— Quel gâchis, tu aurais dû venir me gicler sur le visage pendant qu’il me prenait, ça aurait été très excitant. Bon, ben, nettoie maintenant.

Je pris une éponge, penaud, et nettoyai le carrelage souillé. À la fin, Jade lui demanda s’il voulait l’enculer. Il acquiesça, mais après avoir baisé autant de fois, il n’était plus assez en forme. Il repartit donc chez lui, les couilles plus que vidées. Jade s’endormit presque aussitôt. De mon côté je me refaisais toute la soirée dans ma tête, excité à l’idée de voir les images tournées. Elle prit tout de même le temps de me dire qu’il revenait le lendemain matin.

Au réveil, elle me fit clairement comprendre qu’ils voulaient être seuls pour avoir un peu d’intimité. Je lui demandai si je pouvais laisser tourner la caméra, mais elle refusa. Il envoya un SMS pour dire qu’il arrivait. Elle me fit enfiler un peignoir en quatrième vitesse puis m’envoya au spa pour faire un petit sauna et un peu de piscine. Je partis une petite heure, essayant de ne pas bander sous ma serviette. J’étais très excité, imaginant ce qu’il lui faisait. Quand je revins dans la chambre, ils étaient enlacés, nus sur le lit. Elle ne me raconta pas ce qu’ils avaient fait, mais me dit qu’il bandait fort, (elle adorait se faire baiser le matin).

L’expérience fut une totale réussite. Jade avait adoré et ne voyait plus aucun souci moral à coucher avec des mecs qui lui plaisaient. Ils continuaient à s’envoyer des textos, ce qui l’occupait beaucoup. Nous étions en avril. La vie reprit son cours, ponctuée des petits sifflements signalant les sextos qu’ils continuaient de s’échanger. De temps en temps, il lui demandait de me dominer et de lui envoyer les photos. Elle le faisait avec application, voulant faire plaisir à son amant. Deux ou trois mois plus tard, vers juin, l’éloignement avec Dominique se faisant sentir, elle se décida à aller sur le site de rencontres sur lequel nous étions inscrits. Nous passâmes un deal. Je lui sélectionnais des hommes, et elle choisirait ceux qui l’intéressaient.

Elle prit cependant la liberté de modifier un peu l’annonce que j’avais rédigée. Cela donnait :

Bonjour à tous. En couple depuis 8 ans, je recherche des mecs intéressants, entre 30 et 45 ans, virils, mais pas machos pour prendre du bon temps ensemble. Mon mari m’a fait découvrir le candaulisme. Il est cocu et aime ça. Il aime me voir avec d’autres hommes.

Je le domine de temps en temps, mais j’avoue être débutante dans ce domaine (donc si vous avez des idées de soumission et/ou de punition, je suis preneuse). J’aime par contre être soumise à mes amants. J’aime les hommes endurants, respectueux, mais entreprenants et sachant manier les mots crus.

Écrivez-nous. Mon mari fera une présélection et je choisirai ensuite. Nous pourrons alors aller boire un verre pour faire connaissance.

Le lendemain, je me connectai. Il y avait au moins trente messages dans la boîte aux lettres. Tout le monde était évidemment très intéressé, vu l’annonce et les photos que j’avais mises en ligne (même si elles restaient sages, on y voyait très clairement les longues jambes de Jade, et son petit cul moulé dans son jean). Entre les lourds, les illettrés, les moches, ceux qui ne mettaient pas de photos de leur visage, etc., je supprimai les 9/10e des messages pour en retenir quelques-uns et commencer à discuter. Chaque jour, entre vingt et trente messages arrivaient. Je voulais évidemment trouver de « bons » amants pour ma femme, mais surtout qui avaient un peu de recul et comprenaient que tout ceci n’était qu’un jeu. Trois jours plus tard, elle vint voir si la pêche avait été bonne. Je lui présentais une sélection de cinq mecs. L’un d’eux attira son attention. Ils discutèrent quelques minutes sur le site, puis s’échangèrent leur numéro de téléphone. Trois jours plus tard, un rendez-vous était décidé un soir à la terrasse d’un café.

C’est à ce moment que les choses ont commencé à m’échapper. L’idée était que Jade était libre de rencontrer les hommes qui lui plaisaient, mais en ma présence. D’autant qu’elle aurait pu tomber sur des hommes dangereux… Sauf que nous avions les e n f a n t s à garder. Nous sommes alors tombés d’accord. Elle avait l’autorisation d’aller boire un verre pour faire connaissance et si le feeling passait, nous organisions une rencontre tous les trois où je serais juste spectateur. Elle partit donc ce soir-là pour son premier rendez-vous avec un inconnu. Elle devait m’appeler au bout d’une heure pour me dire si tout allait bien. Je reçus effectivement un SMS rassurant. Puis elle rentra deux ou trois heures plus tard.

Elle me dit que tout s’était bien passé et me raconta dans le détail la soirée. Ils avaient discuté un bon moment, puis s’étaient dirigés vers sa voiture. En chemin, il lui avait mis la main sur les fesses, puis s’assurant qu’il n’y avait personne derrière, l’avait passée sous sa courte robe pour lui « palper » l’arrière-train. Elle s’était laissé faire. En entendant ça, je sentis une érection dans mon pantalon. Jade s’en aperçut et continua son récit… Ils entrèrent dans la voiture où il lui « roula une pelle » pour reprendre son expression. Il lui avait ensuite mis la main dans la culotte et l’avait doigtée. J’étais complètement excité, mais aussi un peu abasourdi de savoir que ma femme se donnait aussi facilement. Je lui en fis la remarque. Elle me répondit :

— Bah, tu sais comment je suis non ? J’aime le cul… Le mec me plaisait. Et puis c’est toi qui as voulu faire ce fantasme. Allez allonge-toi sur le dos et commence à te branler, je vais te raconter la fin.

Évidemment, elle savait qu’elle faisait de moi ce qu’elle voulait à ce moment-là.

Je me mis en position, elle commença à me mettre un doigt dans l’anus et reprit son récit. Il lui avait donc enfoncé un, puis, puis trois doigts dans la chatte. Elle me fit même remarquer qu’il y était allé très fort et qu’elle était un peu irritée sur les lèvres. Sans doute un ongle ou sa montre qui avait frotté. Tout en parlant, elle enfonçait son doigt de plus en plus loin, ce qui me faisait « couiner ». Ça l’amusait de me voir comme ça. Ensuite, il sortit son sexe et elle le suça quelques secondes avant d’arrêter. Ils avaient dû stopper, car il faisait encore jour et des gens passaient dans la rue.

— Voilà, ça t’a plu ? Tu as envie de jouir ? Eh bien, il m’a invité demain soir chez lui, donc tu auras la fin de l’histoire demain. Et interdiction de jouir d’ici là.

Quelle frustration ! J’étais au bord de la jouissance. Et il n’était pas question dans le contrat qu’elle fasse ça sans moi. Elle n’eut pourtant pas beaucoup à faire pour me faire accepter sa proposition. La situation m’excitait trop. Je lui fis promettre de m’appeler quand elle serait là-bas, de me faire des photos, des vidéos et de tout me raconter dans le détail. Elle me répondit simplement qu’elle verrait.

Le lendemain arriva. Petite jupe très courte, talons, etc. Pas de culotte, et elle mit son rosebud.

— Il m’a demandé si je pouvais le mettre, ça l’excite.

Évidemment, il connaissait notre blog, et savait que Jade en avait un. J’étais serré dans mon pantalon en la voyant partir. Je reçus un texto une heure et demie plus tard pour me dire qu’elle était arrivée chez lui et que ça se passait bien. Je reçus un deuxième SMS deux heures après m’annonçant qu’elle rentrait. Je lui demandais si c’était bien.

« Bof, je te raconterai », renvoya-t-elle par texto.

Elle m’expliqua en rentrant qu’elle était tombée sur un éjaculateur précoce. La première fois qu’il l’avait touchée, il avait joui en quelques secondes. Il la pénétra une deuxième fois, mais là encore, ça ne dura que quelques secondes avant qu’il ne jouisse dans la capote. Elle avait cependant aimé être désirée ainsi. M’expliquant ceci, elle alla sur l’ordinateur et discuta avec un deuxième homme que j’avais présélectionné et qu’elle trouvait mignon. Un quart d’heure plus tard, elle revint me disant :

— J’ai rendez-vous avec lui après-demain. Allez allonge-toi, je vais te mettre ton doigt.

Deux jours plus tard, elle alla donc à son rendez-vous. Il était prévu qu’elle n’aille boire qu’un verre, mais il l’invita chez elle après la prise de contact. Elle me le signala par SMS. J’en reçus un deuxième avec une photo : elle était en train de branler sa queue (qui était assez grosse). Elle revint le soir un peu avant minuit, me précisant qu’ils avaient passé une bonne soirée, mais qu’elle n’avait pas couché avec lui. Ils s’étaient juste chauffés un peu. Ils avaient bu quelques verres et fumé un peu d’herbe. Elle m’en avait ramené un peu d’ailleurs.

— Je suis pas une fille facile, non plus. J’avais juste envie de m’amuser ce soir.

La semaine suivante, je lui présentai le profil d’un autre homme intéressant sur le net. Il s’appelait Nicolas. Physiquement pas mal, mais surtout il avait plein de témoignages de femmes expliquant que c’était un super amant. Pas f o r c é ment convaincue, elle accepta pour avoir une idée. Le soir du rendez-vous, elle s’habilla plus sagement, même si elle était très sexy, avec juste ce qu’il fallait de maquillage. C’était un vendredi soir.

Vers 22 h, je reçus un appel me précisant que ça se passait très bien. Il l’emmenait chez lui pour continuer la soirée. Encore une fois ce n’était pas prévu, mais je sentais qu’elle était très émoustillée. Je lui dis juste de faire attention et de me tenir au courant du déroulement de la soirée. Vers minuit et demi (j’avais essayé de l’appeler au moins trois fois, mais pas de réponse, je vous laisse imaginer dans quel état j’étais), je reçus un SMS me disant que tout allait bien que la soirée se passait bien. Je lui demandais ce qu’elle avait fait, mais là encore pas de réponse. Finalement elle m’appela une heure plus tard, il n’était pas loin de 2 h du matin.

— Oui, oui, c’était bien. Super même. Par contre il est 2 h, on est crevés et on a un peu bu. Ça te dérange pas si je dors là-bas.

Je tombai des nues. Elle m’annonçait ça direct, sans me donner de détails. Je lui dis que je n’étais pas très chaud. Elle me répondit :

— De toute façon, tu m’as dit que tu voulais être soumis et que je sois ta maîtresse. Alors je prends cette liberté. C’était super bon je te raconterai. Attends, tu veux lui parler ? Je te le passe.

Décontenancé, j’entendis la voix de son amant me demandant si j’allais bien. Ne voulant pas perdre la face et être « grand Seigneur », je lui demandai :

— Alors, elle est bonne, ma femme ?

— Ah, super bonne. Je l’ai prise dans tous les sens. Mais là, on est un peu fatigués. Ça te dérange pas qu’elle dorme ici ?

Je bredouillai quelques mots en guise de réponse. Il me la repassa et j’eus juste le temps de l’entendre dire :

— Merci chéri pour ta compréhension. On se revoit demain matin, je ne traînerai pas trop. Branle-toi bien.

Et elle raccrocha.

Cette nuit-là, j’eus du mal à trouver le sommeil. Je fus réveillé par les e n f a n t s vers 8 h du matin. Elle arriva à 10 h, toute fraîche. Nous devions faire une sortie au zoo ce jour-là. Difficile de parler de la soirée de la veille. Elle me glissa juste avant de monter en voiture.

— En tout cas, il est endurant !

Elle passa une grande partie de notre sortie du week-end au téléphone, à envoyer des SMS. Elle m’avait prévenu que c’était lui. Le reste du week-end se passa normalement. Le dimanche soir vers 18 h, elle m’annonça qu’elle allait à une soirée Tupperware avec ses copines. Elle mangerait sûrement là-bas. Elle rentra vers 23 h. J’étais déjà au lit. Elle s’allongea à côté de moi. Je lui demandai si elle allait enfin me raconter ce qui s’était passé le vendredi soir.

— Écarte tes cuisses, je vais t’en raconter un peu.

Pendant qu’elle enfonçait son doigt en moi en me mordillant le téton, elle me raconta en quelques secondes qu’il l’avait baisée plusieurs fois, mais aucun détail croustillant.

— C’est pas facile de te dire ça. On a fait plein de trucs, je me rappelle pas de tout, m’expliqua-t-elle.

Je lui reprochai alors de m’exclure du jeu que nous avions initié. Voyant que j’étais fâché, elle lâcha :

— T’as envie que je t’excite, que tu jouisses en imaginant ta petite femme avec un autre ?

Elle disait ça en m’enfonçant son doigt. Je répondais mécaniquement :

— Ouiiiiii.

— Alors, je vais te faire une confidence. Je suis passée chez Nicolas ce soir.

— Oh, et qu’est-ce que tu as fait avec lui ?

— Je l’ai juste sucé, j’avais mes règles, mais il était content de mon passage.

Je ne pus en savoir davantage. Je jouis plusieurs jets de sperme sur mon ventre. Le sommeil arriva en quelques secondes.

Le lundi matin, comprenant que Jade ne voulait pas tout me dire, j’écrivis à son amant pour qu’il me raconte ce qu’ils avaient fait. Le soir, je subtilisais son téléphone portable pendant qu’elle était sous la douche. Elle ne me laissait plus voir tous ses textos. Elle avait reçu un message de sa part lui précisant que j’avais demandé qu’il me raconte la soirée. Il demandait s’il pouvait. Elle lui avait répondu :

« Oui va-z-y. Mon mari est joueur ».

« Je lui raconte tout tout ? »

Je n’ai pas pu voir sa réponse, car elle arriva.

En tout cas, le lendemain je reçus par mail un texte de deux pages me décrivant en détail ce qu’ils avaient fait. Je regrette de ne pas l’avoir conservé. Mais en substance, il expliquait qu’elle l’avait chauffé toute la soirée, et chaque fois que ça devenait « sérieux », elle faisait retomber la pression. Elle disait : « on sort fumer une clope ». Puis finalement, après deux heures de ce petit jeu, en revenant des toilettes, il l’avait trouvée complètement nue dans le salon, lui disant qu’il fallait qu’il l’attr a p e . Il l’avait léchée sur la table de la salle à manger. Puis il était parti répondre au téléphone. En revenant, elle avait disparu. Il la retrouva dans sa chambre, à quatre pattes sur le lit, les fesses cambrées. Il l’avait baisée au moins cinq ou six fois, dans toutes les positions. À chaque fois, ils s’étaient effondrés de plaisir, ruisselant de sueur. Je comprenais qu’elle avait joui comme jamais, et qu’elle n’osait pas me le dire, de peur de me blesser.

La semaine suivante, elle sortit deux fois le soir entre copines. Je la croyais, cela faisait maintenant plus d’un an qu’elle sortait très régulièrement. D’ailleurs, sa meilleure amie venait la chercher vers 20 h. Sa mère devait venir passer le week-end chez nous le vendredi suivant. Elle m’annonça qu’elle allait voir Nicolas ce week-end-là. Je trouvais là l’occasion de pouvoir venir avec elle chez lui. Sa mère pourrait garder les e n f a n t s pendant ce temps-là. Elle refusa, disant qu’elle préférait avoir un peu d’intimité, au moins au début. Là, je sortis de mes gonds. Ça faisait trois mecs qu’elle rencontrait, elle ne m’avait ramené aucune image, ne me racontait quasiment rien de ce qu’elle faisait, etc. S’ensuivit une engueulade d’au moins une demi-heure. Elle me promettait de me ramener des photos, des vidéos, mais je n’en démordais pas. Je voulais venir.

— Tu vas quand même pas me laisser seul avec ta mère et les e n f a n t s, pendant que tu vas te faire baiser tout le week-end.

Finalement, au bout du compte, j’eus gain de cause : elle resta à la maison. Mais en y repensant, j’étais perdant… Je n’avais pas pu aller chez lui et l’accompagner.

Le week-end passé, elle m’annonça le lundi qu’elle sortait avec ses copines. Méfiant, je demandai à voir ses textos. Elle refusa, ce qui créa à nouveau une dispute. Finalement, sa copine arriva, et je n’eus pas d’autre choix que de la laisser partir… À son retour, je lui demandai de faire une pause dans notre expérience « candauliste », tout du moins avec son amant actuel, Nicolas, sentant que les choses m’échappaient.

Après plus d’une heure de discussion et de négociation, nous sommes tombés d’accord. Elle coupait les ponts avec Nicolas le temps de recouvrer ses esprits, mais elle pouvait continuer à s’envoyer des sextos avec Dominique notamment, son premier amant. Elle devait également me les faire lire. Le mois de juillet passa ainsi. Jade continuait de sortir, d’envoyer des SMS… Début août, j’eus tout de même un doute. J’eus alors l’idée de consulter sur internet sa facture de téléphone (c’est moi qui me suis toujours occupé de la paperasse et des factures, et avais donc tous les codes pour gérer cela). Elle avait un petit forfait, mais avec les SMS illimités. Quand je vis l’historique de ses SMS, j’eus un frisson dans le dos. Quasiment toujours le même numéro, celui de Nicolas. Au moins cinquante textos échangés par jour. Et même des appels… de plus d’une demi-heure, les jours où elle était partie chez sa mère quelques jours.

J’imprimai tout à mon travail et épluchai tout l’historique, à coup de stabilo et de notes au crayon, recoupant les soirs où elle était partie. Il y avait plus de vingt pages d’historique SMS. Quand elle rentra à la maison, elle reçut un SMS, justement. Je lui arrachai le téléphone des mains. Elle vit que j’étais furax. Je lus le SMS qui venait d’une certaine Véronique, et qui disait :

« Hâte de retourner dans ton cul ».

Je reconnus évidemment le portable de son amant (je le connaissais par cœur à f o r c e d’avoir épluché les factures).

Là, il y eut une vraie crise : on était clairement sortis du cadre du candaulisme, pour rentrer dans le cocufiage en règle, même si c’était moi qui avais initié tout cela. Après une v i o l ente dispute, Jade resta fermée à la discussion. Comprenant que je n’arriverais à rien, je me décidais à écrire à Nicolas pour le rencontrer et discuter de tout ça.

Nous échangeâmes par mail. Je lui expliquai que j’étais exclu de ce jeu, que ce soit pour qu’elle me raconte ses expériences, que je vienne avec elle chez ses amants, ou même qu’elle me domine. Nous sommes alors tombés d’accord sur une idée : il allait la pousser à me dominer. Ça me permettrait déjà de prendre du « plaisir » et l’inciterait sans doute à partager davantage de ses expériences. Je prenais par contre le risque qu’il lui raconte toute notre discussion. Une idée que je n’aimais pas, car j’aime contrôler les choses. Mais vu la situation, je n’avais pas trop le choix. Je basculais totalement dans l’inconnu.

Nous sommes donc restés en froid toute la semaine suivante. Jade sortit au moins quatre soirs cette semaine-là. Je faisais bonne figure devant les e n f a n t s, mais dès que nous nous retrouvions seuls, je faisais la gueule et on ne se parlait plus. À la fin de la semaine, elle revint vers moi dans le lit. Une surprise car ce n’était jamais elle qui faisait le premier pas pour arranger les choses. Elle m’expliqua qu’elle était allée trop loin, c’est vrai, mais qu’elle passait par une phase difficile. Le boulot, les e n f a n t s… et ce fantasme du candaulisme (enfin, du cocufiage devrais-je dire), tout ça la travaillait. Elle m’expliqua ensuite que son amant lui avait demandé de me dominer, et qu’elle aimait l’idée. Je ne répondis rien mais je me fis la réflexion que lorsque c’était moi qui lui demandais, elle refusait l’idée, mais quand c’était son amant, elle aimait le faire… Apparemment, il ne lui avait pas parlé de notre discussion, et elle était prête à partager un peu avec moi. Il y avait déjà du progrès. Nous discutâmes pendant un petit quart d’heure (un vrai luxe puisque toute communication était devenue impossible). Finalement, elle lâcha :

— Bon, tu es OK pour m’obéir, alors ?

Je fis oui de la tête.

— OK. Bon, pour ce soir je vais te laisser tranquille. Je vais te mettre un doigt pour que tu dormes bien. Par contre, demain soir, dès que les e n f a n t s sont couchés, je te veux nu avec ton collier dans le salon. OK ?

Le lendemain soir, très excité, je me tenais prêt, comme elle me l’avait dit. Elle me demanda gentiment de lui servir un verre de vin blanc et des cacahuètes, puis elle me fit mettre à quatre pattes devant elle, posa le verre de vin blanc et les cacahuètes sur mon dos et alluma la télé. Elle se repassait à cette époque Desperate Housewives… Je restai un bon quart d’heure dans cette position ; cela m’excitait terriblement d’être ainsi soumis. Le plus dur était d’essayer de ne pas faire tomber le verre. Elle posa ensuite ses jambes sur mon dos et passa un coup de téléphone :

— Coucou ! Oui, c’est moi […] Oui, il est à quatre pattes, là […] Non, il n’a rien dit […] Oui, c’est une bonne idée […] Bisous. Je te rappelle.

Puis elle raccrocha et continua à regarder sa série. Cinq minutes plus tard, je lui fis remarquer que je commençais à fatiguer. Elle répondit simplement :

— Nico veut que tu restes comme ça jusqu’à 22 h 15. Encore 15 minutes à tenir.

Elle reprit alors son téléphone et prit plusieurs photos de moi avec ses pieds posés sur mon dos, puis enchaîna :

— Je trouve assez pathétique que tu ailles voir mon amant pour lui demander que je te soumette. Tu as donc si peu de fierté ? Tu aurais mieux fais de me demander directement.

Mon s a n g ne fit qu’un tour. Non seulement Nicolas lui avait parlé de notre discussion, mais cela faisait des mois que je lui demandais de me soumettre et elle ne faisait rien. J’étais le dindon de la farce : ma femme était plus complice avec son amant qu’avec moi. Mais j’arrivais enfin à vivre ce fantasme de domination, et la situation était tellement excitante que je gardai les yeux baissés.

Au bout de longues minutes interminables, elle me libéra enfin de ma position. J’avais les bras complètement engourdis et mal au dos. Elle me fit mettre alors sur ses genoux et me fessa très rudement, puis elle prit une photo de mon derrière tout rouge en ajoutant :

— Nicolas veut des preuves de ta soumission. Ne t’étonne pas que je prenne des photos : c’est pour lui envoyer.

Je lui fis remarquer que je ne voulais pas qu’elle prenne de photos de mon visage. Elle répondit :

— Non, non, t’inquiète pas ; il s’en fiche de ta tête de cocu.

Elle ne sortit pas cette semaine-là, mais tous les soirs elle me domina, me poussant à chaque fois plus loin. Le mercredi soir, elle me fit manger à quatre pattes dans une gamelle sous la table, sans couverts. J’avais toujours mon collier autour du cou. Je me surprenais à lui obéir aussi aveuglément, d’autant que toutes ces idées venaient de son amant. Mais je prenais un tel plaisir à être à ses pieds…

Le vendredi soir, elle m’annonça qu’elle partait tout le week-end chez Nicolas :

— Je pense que tu as eu ta dose de soumission. À moi maintenant de pouvoir assouvir mes fantasmes. Tu as quelque chose à dire ?

Non, je n’avais rien à dire. Je me sentais bien et j’étais aussi content de pouvoir me reposer, car même si j’avais pris un plaisir immense, le traitement de soumission me pesait un peu.

— Très bien. Je rentre dimanche vers 17 heures. Je veux que la maison soit impeccable. Et tu rangeras le garage car c’est plus possible.

Elle me demanda également de lui préparer son sac en y mettant quelques affaires sexy. J’y ajoutai le caméscope en lui demandant si elle pouvait filmer un peu… Elle prit le sac et ne répondit rien.

Le week-end fut très long car je ne reçus pas un coup de fil, pas un texto, pas une nouvelle.

À son retour deux jours plus tard, elle m’expliqua que Nicolas souhaitait l’avoir pour lui tout seul : dorénavant, je n’aurais plus le droit de la pénétrer. D’autant plus difficile quand on dort dans le même lit. Je fantasmais depuis quelque temps sur l’idée de porter une cage de chasteté, mais elle n’aborda pas le sujet. Cela faisait déjà plus d’un mois que nous n’avions pas couché ensemble. Je lui demandai alors de me raconter le week-end dans le détail.

— Non, je préfère garder ça pour moi, c’est mon jardin secret… Mais je t’ai rapporté une surprise. Avant de te la donner, tu vas te mettre sur le dos, écarter tes cuisses et me présenter ton anus de cocu.

Pas besoin de me le dire deux fois. Elle commença à enfoncer ses doigts en moi, et en même temps elle sortit une capote remplie de sperme qu’elle agita au-dessus de mon nez…

— Je t’ai ramené un peu de semence pour m’amuser avec toi.

Elle positionna le préservatif sur mon visage et commença à me mettre plusieurs doigts en me faisant mal… Je criais mais elle continua, et en profita même pour mettre la capote dans ma bouche pour me la faire sucer. Elle s’enfonçait de plus en plus. Je serrais les dents mais j’essayais de me retenir car elle prenait un malin plaisir à mettre la capote entre mes dents, justement. Elle cherchait clairement à ce que je la déchire et que le sperme de son amant se répande dans ma bouche. Finalement je parvins à me maîtriser. Elle ne s’avoua pas vaincue ; attrapant des ciseaux, elle la découpa et déversa toute la semence sur mon visage. Une fois fait, elle enfonça ses doigts et je jouis instantanément.

— Tu sais que je n’ai jamais aimé le goût du sperme (oui c’était l’un de ses seuls tabous), mais Nicolas pense qu’un bon cocu doit connaître le goût du sperme de l’amant de sa femme.

Un peu plus tard en m’endormant, je me dis que ça commençait aller trop loin, mais tous ces petits jeux m’excitaient, et voir ma femme prendre plaisir à me dominer m’excitait encore plus.

Jade était redescendue. Elle était au téléphone. J’entendis une bribe de conversation :

— Non, elle n’a pas éclaté […] Ben oui, c’est dommage […] OK, on fera comme ça.

Je me posais de plus en plus de questions. Je me disais aussi que je n’avais toujours pas rencontré son amant. Elle vint finalement se coucher. Quelques minutes plus tard, mon téléphone se mit à vibrer. Je lus sur l’écran : « Quel week-end ! Je lui en ai mis plein le cul à ta femme. » Une photo accompagnait le message. On voyait son amant la prendre par derrière, en levrette. Je restai la bouche ouverte, n’y croyant pas. Sa queue était rentrée aux trois-quarts dans son petit trou, et on sentait qu’il allait lui mettre un grand coup de reins pour la faire rentrer jusqu’aux couilles. La capote n’arrivait pas jusqu’à la base de son sexe, tellement il bandait.

— À voir ta tête, tu as reçu la photo de Nicolas, on dirait. Ça te plaît ? me demanda-t-elle.

— Oui, marmonnai-je sans trop savoir quelle attitude adopter.

— Tant mieux ; on va pouvoir bien dormir tous les deux.

Sur ces paroles, elle m’embrassa furtivement sur la bouche et se tourna sur le côté.

— Il t’a enculée combien de fois pendant le week-end ? » demandai-je, curieux et encore sous le choc de cette photo.

— Oh, j’ai pas compté, mais c’est vrai qu’il aime bien mon cul et me l’a mise plus souvent par là que par-devant. Tant mieux, tu sais que je jouis plus par là.

Voyant que j’allais reposer une question, elle prit les devants :

— Bon, tu as ta photo, moi j’ai pris mon pied. Tout le monde est content, non ? Alors maintenant on dort. Bonne nuit.

Là-dessus elle éteignit la lumière et s’endormit presque aussitôt.

Je me suis branlé quatre fois cette nuit en repensant à tout ça.

Le lundi matin allait être difficile.

Le jeudi suivant, au travail, vers 15 heures je reçus un autre texto de son amant, précisant « Bon courage pour le travail. Je t’aurais bien passé ta femme, mais elle a la bouche pleine, là. Elle me fait te dire qu’elle ne pourra pas passer prendre les e n f a n t s à l’école et de ne pas l’attendre ce soir, elle rentrera tard ». Comme pour le premier texto, je fus saisi d’une excitation immédiate. Mais chaque message me provoquait un choc. Surpris, je lui renvoyai un SMS lui demandant où ils étaient. Je reçus alors un message, de ma femme cette fois-ci, un quart d’heure plus tard : « On t’a dit qu’on était occupés, alors tu fais ce qu’on te dit et tu t’occupes des e n f a n t s ce soir. Et je t’interdis de répondre à Nicolas. »

Je reçus une photo ce jeudi-là, vers 18 heures, pile alors que je récupérais les e n f a n t s à l’école, sans commentaire. J’y vis ma femme à genoux en train de le sucer, le regardant droit dans les yeux, ou plutôt dans l’objectif du smartphone. Son regard en disait long…

Pendant environ un mois, ce petit jeu continua. Je recevais des photos tous les 3 ou 4 jours et me branlais très (trop ?) souvent. Les commentaires de son amant étaient de plus en plus vicieux, du genre « T’inquiète pas, ça reste ta femme, mais c’est ma salope maintenant. » ou bien « Tu savais que ta femme était capable de jouir rien qu’en prenant mon foutre sur sa petite gueule d’ange ? » Je me rappelle d’un message qui m’avait particulièrement marqué : « Toujours aussi bon de baiser ta femme jusqu’à l’os. Elle en redemande. » Je ne parle pas des photos. Jade n’avait quasiment pas de tabous. Une des photos qui m’avait le plus excité présentait son magnifique cul avec écrit dessus au feutre « Ta femme, ma pute. »

Jade découchait toujours 2 ou 3 nuits par semaine. Elle continuait de me dominer régulièrement, mais elle n’avait pas beaucoup d’efforts à faire. Je devais m’occuper de toutes les tâches ménagères quand je n’étais pas au travail : vaisselle, ménage, linge… etc.

Un soir, elle me rapporta le linge de son amant.

— Sa machine à laver est en panne. Merci de t’en occuper au plus vite.

J’aurais dû trouver que c’était trop. Qu’il ne fallait pas accepter. Mais cette demande me provoqua au contraire une très grande excitation. Le coup de grâce, ce fut quand elle m’assena :

— Attention, ce pull est très fragile. Il faut le laver à la main.

J’ai fait la lessive immédiatement et lavé son pull dans une bassine. Une heure plus tard, je recevais un SMS de sa part : « Merci pour le linge. On se rend des services. Comme ça, ta femme a une vraie queue, et moi mon linge propre. Ses messages faisaient mouche à chaque fois. Il trouvait toujours la petite phrase avec le juste équilibre entre excitation et humiliation.

Jade, de son côté, semblait beaucoup plus épanouie qu’avant. Toujours de bonne humeur, beaucoup plus sûre d’elle. Elle me narguait aussi et m’humiliait de plus en plus souvent, notamment quand je lui posais des questions. Ses réponses étaient du style « Évidemment que j’aime baiser avec lui. Au moins ça ne dure pas deux minutes. Et pourtant il me baise comme un vide-couilles. Il sait que j’aime ça. Imagine, si j’étais sa princesse… » Ses formules me faisaient à chaque fois plus d’effet.

Puis après la période des photos, ce fut au tour des vidéos. La première que je reçus présentait Jade en levrette en train de se faire prendre par derrière. L’équivalent de la première photo qu’il m’avait envoyée. Mais là, il y avait le son. J’entrais dans une autre dimension. Certes, la qualité de la vidéo était médiocre ; c’était filmé au téléphone portable, mais je voyais très bien qu’il se déchaînait sur elle. J’avais même peur qu’il lui fasse mal tellement il la baisait fort. Jade hurlait sous ses coups de bite. Ça, c’était pour le côté excitant. Pour l’aspect humiliation, il n’était pas en reste. Ses commentaires semblaient faire encore plus jouir ma femme : « T’aimes ça, hein, ma salope ? Te la prendre dans le cul ! Regarde, je filme pour ton cocu. Il va être content. » Jade ne répondait pas, mais quand elle entendait ces mots elle gémissait (enfin, gémissait, hurlait plutôt) encore plus fort. Sur les vidéos suivantes, il prenait un malin plaisir à la faire parler. Il la baisait par exemple en missionnaire en la filmant et lui disait : « Alors, c’est autre chose qu’avec ton mari, hein ? Dis-le que c’est bon. » Et de la voir, elle, le regard dans le vague, complètement en sueur lui répondant « Oui, c’est bon. Vas-y, mets-la-moi bien au fond. »

Cela faisait maintenant trois mois que je n’avais plus pénétré ma femme. J’avais juste eu le droit de la lécher 15 jours auparavant, mais ça avait été très rapide. Cela faisait également plusieurs semaines que je lavais le linge de son amant. Il avait pris son temps pour racheter une nouvelle machine. Évidemment, j’avais matière à me branler pour les cinq années à venir avec toutes les photos et vidéos que j’avais reçues !

Nous avions trouvé une sorte d’équilibre – sans doute précaire, j’en étais conscient – mais dans notre vie quotidienne nos rapports s’étaient améliorés. Seule ombre au tableau : je ne pouvais pas mettre sur mon blog les photos et les vidéos qu’il m’envoyait ; on aurait pu les reconnaître trop facilement. Mais surtout, je n’avais toujours pas rencontré son amant.

Un soir, profitant de l’amélioration de nos rapports, je lui demandai si je pouvais venir avec elle chez lui. Les e n f a n t s partaient pour une semaine chez leur grands-parents ; c’était le moment ou jamais. Elle fut un peu amusée de ma demande et me dit qu’elle y réfléchirait.

Trois jours plus tard, elle me dit que Nicolas était d’accord. Nous irions donc chez son amant le lendemain samedi vers 15 heures. J’étais évidemment aux anges, mais partagé entre excitation et appréhension. Le matin, je préparai mon appareil photo et mon caméscope. Jade me regardait, amusée en levant les yeux au ciel.

En arrivant chez lui, un frisson me parcourut le dos : il n’était pas seul. Un ami était avec lui, en train de discuter devant sa voiture. Je me dis « Il n’a quand même pas prévu de la prendre avec son pote devant moi ? » Jade semblait très calme et au courant. Mais ça n’était pas f o r c é ment pour me rassurer. Je la sentais tout à fait capable de me faire un coup comme ça.

Il avait une maison avec un jardin. Une fois garés dans l’allée, tout le monde se dit bonjour. Juste avant d’entrer dans la maison, Jade me prit à part et me dit discrètement :

— Dis-moi, mon petit cocu, la voiture de Nicolas est très sale. Ça ne te dérange pas de la laver avant de rentrer dans la maison ? Regarde, il t’a sorti le tuyau, une éponge et du produit. Tu fais ça bien, hein ? Après, tu auras le droit de venir nous voir.

Livide, je lui demandai :

— Mais il y a son copain. Vous n’allez quand même pas faire ça à trois pendant que je lave sa voiture ?

Elle me répondit simplement :

— Qui sait ? Il est mignon, tu ne trouves pas ? De toute façon, tu n’as rien à dire. Et il n’a jamais été question que je n’aie droit qu’à un amant. Allez, au boulot, et applique-toi. S’il reste des traces, je me ferai un plaisir de te corriger sévèrement !

Mon cœur battait à cent à l’heure. Je me jetai sur le tuyau d’arrosage pour commencer sans tarder. Je me disais que ce n’était pas possible. Heureusement, la voiture était garée juste à côté de la fenêtre du salon. Je pouvais donc les apercevoir. Je regardais toutes les 30 secondes pour vérifier qu’ils n’étaient pas en train de se la faire tous les deux. Mes craintes se dissipèrent quand je vis sortir son ami de la maison, cinq minutes plus tard. Il me fit un signe de la main pour me dire au revoir et me souhaita bon courage en rigolant. Après ce léger soulagement, je m’inquiétai à nouveau. Qu’avait-il pu dire à son ami ? « Oui, son mari lave ma voiture pendant que je baise sa femme. Ça vaut le coup, non ? »

J’en étais à ces réflexions quand je me rendis compte qu’ils étaient tous les deux seuls désormais. Depuis au moins cinq minutes. En regardant par la fenêtre, je remarquai qu’ils avaient disparu du salon. Je me dépêchais de passer l’éponge sur la carrosserie pour aller les retrouver. Finalement, n’y tenant plus, je bâclai la tâche qui m’était confiée pour aller les retrouver.

En entrant dans la maison, des bruits parvenaient de l’étage. Je montai les escaliers avec mon sac à dos. En entrouvrant la porte de la chambre, je découvris Jade en train de se faire prendre à quatre pattes sur le lit. Discrètement, je m’empressai de sortir ma caméra pour imm o r t aliser ce moment. Je réussis également à prendre quelques photos. Vu qu’ils étaient de dos, je n’arrivais pas à voir s’il la prenait par-devant ou par derrière. En tout cas il l’insultait copieusement :

— Ça te plaît, petite pute, de te faire baiser pendant que ton mari lave ma voiture ? Oh oui, je vais décharger !

Il l’attrapa alors par les cheveux, la retourna, retira la capote et éjacula sur son visage. Il lui en envoya de longs et grands jets, très abondants. Ce n’est que lorsqu’ils s’allongèrent sur le lit qu’ils remarquèrent ma présence.

— Tu es déjà là ? Tu as fait vite. J’espère que la voiture de Nicolas est propre, me dit ma femme, le visage encore plein de sperme.

La voiture… je l’avais complètement oubliée ! Elle se leva, enfila sa jupe et passa devant moi en récoltant un peu de semence sur ses lèvres pour me la coller sur le bout du nez avec son doigt. Arrivés en bas, le véhicule semblait propre. Je le leur fis remarquer.

— Oui, à part là, ici, ici aussi, et encore là ! me rétorqua ma femme.

Elle me colla l’éponge dans les mains en me signifiant qu’il fallait recommencer, attrapa son amant par la main et lui dit :

— Viens, j’ai envie que tu me prennes sous la douche.

Un quart d’heure plus tard, la voiture était propre. Ma femme et son amant aussi. Quand je pénétrai à nouveau dans la maison, ils m’attendaient dans le salon. Jade me fit un geste pour m’indiquer que je devais m’allonger sur ses genoux. Elle prit soin d’enlever ma ceinture et de baisser mon pantalon au préalable.

— Tu as vu comment il devient obéissant avec son dressage ? Plus aucune protestation.

— Effectivement, c’est impressionnant ! répondit son amant, amusé.

— Je t’avais dit que si la voiture n’était pas propre, je te corrigerais moi-même, me lança-t-elle.

Sur ces mots, elle m’administra une fessée retentissante. Oh, la douleur était à peu près supportable, mais le bruit des claques, et surtout le regard de son amant me pétrifièrent. Quand elle eut fini, elle m’envoya au coin du salon, le pantalon toujours baissé, les fesses rouges, avec interdiction de me retourner. J’avoue que je ne me rappelle pas vraiment de la suite de l’après-midi ; la honte était telle que ma mémoire préféra oublier leurs ébats.

Ce sentiment dura jusqu’au retour à la maison. Curieusement, la vie reprit son cours tout de suite et cet épisode s’effaça dans la soirée. J’eus même le droit de la lécher et elle me mit un doigt ce soir-là. Mais quinze jours plus tard elle m’annonça qu’elle partait pour un week-end de trois jours avec lui au bord de la mer. Je fis des pieds et des mains pour venir, lui disant que je serais à leur service, que je ferais tout ce qu’ils me demanderaient. Je ne voulais pas qu’elle me laisse seul. Bizarrement, quand elle allait chez lui, ça ne me dérangeait pas tant que ça. Mais le fait de les savoir en vacances et moi seul à la maison m’était insupportable. Finalement, après nous être entretenus avec lui, ils acceptèrent. Mais sous certaines conditions, qu’elle m’énonça :

— Comme tu me l’as dit, tu seras à notre service, donc tu nous obéiras :

Je dormirai avec Nicolas dans la chambre ; toi, tu auras le canapé ou la deuxième chambre, s’il y en a une.

Tu devras avoir le regard baissé en notre présence. Donc interdiction de nous regarder dans les yeux.

Nous voulons le petit déjeuner servi au lit samedi et dimanche matin, avec jus d’orange pressé, café et croissant.

Je t’interdis de te tripoter ou de sortir ta queue en notre présence, sauf si on te le demande.

Tu as interdiction de jouir pendant tout le week-end.

C’est Nicolas qui paiera pour la location, et toi qui paieras pour les sorties.

Nous partons avec ta voiture, et c’est toi qui conduiras.

Cela me paraissait juste. Il n’y avait que l’interdiction de jouir qui me dérangeait ; mais comment le sauraient-ils, puisque je ne portais pas de cage de chasteté ? Je demandai à mon tour s’ils pouvaient laisser leur porte entrebâillée la nuit si jamais je voulais venir les regarder s’ils baisaient. Elle éclata de rire et répondit :

— Mon pauvre, tu en es rendu là ? Eh bien tu verras bien. Si elle est ouverte, tu auras le droit de regarder, et si c’est fermé, il te restera tes oreilles… Mais n’oublie pas : interdiction de jouir de tout le week-end.

Le jour J arriva. Son amant avait loué un petit appartement sur la côte. Nous avions rendez-vous avec lui sur un parking de supermarché. Quand nous arrivâmes, Jade sortit de la voiture et ils se roulèrent une pelle pendant au moins 15 secondes. Je priai pour ne reconnaître personne que je connaissais. Heureusement, j’allais rarement dans ce secteur. Je lui serrai la main rapidement en lui disant bonjour. Il était tout sourire et très détendu.

Première surprise : Jade monta à l’arrière avec lui. Je pensais naïvement qu’elle ferait la route à côté de moi, et lui derrière. Il y avait environ une heure et demie de route. Et évidemment, au bout de cinq minutes, il la pelotait dans tous les sens et enfonçait bien sa langue dans la bouche. Très vite, la contrainte de devoir suivre la route devint insoutenable, alors que le spectacle était derrière. Heureusement l’autoroute arriva très vite. Au péage, au moment de prendre le ticket, il avait la main dans sa culotte (elle était pourtant en jeans) et le routier qui était dans le camion juste à côté n’en perdait pas une miette. Ça ne les dérangea pas. Un peu plus tard, c’est elle qui ouvrit sa braguette pour commencer à le sucer. Je n’avais jamais bandé autant. J’essayais tant bien que mal de conserver le regard sur la route, mais toutes les cinq secondes il fallait que je regarde ma femme se délecter de son sexe. Elle le suçait avec application, essayant de l’avaler entièrement en lui caressant les couilles. Au moment où il l’attrapa par les cheveux pour lui enfoncer plus profondément, je ne pus m’empêcher de rester à regarder. La voiture se déporta vers la gauche au moment où une voiture nous doublait.

Nicolas me remit sèchement à ma place :

— Dis donc, cocu, t’as intérêt à te concentrer sur la route parce qu’on aimerait arriver entiers.

Voyant cela, Jade en rajouta une couche :

— Je te préviens que s’il y a une autre embardée, c’est Nicolas qui s’occupera de te corriger, et il a beaucoup plus de f o r c e que moi.

Je répondis platement :

— Je vous prie de m’excuser.

Ils se regardèrent en rigolant, et Jade détacha alors sa ceinture, se mit à genoux sur la banquette et continua à le sucer. Il passa alors sa main sur son cul, lui baissa le jeans et commença à lui caresser les fesses. Je me doutais qu’il enfonçait ses doigts, mais je n’arrivais pas à voir si c’était dans sa chatte ou son anus. Je me retins de demander, craignant de me faire envoyer balader une nouvelle fois…

Quelques minutes plus tard, elle se mit à califourchon sur lui pour se frotter. Elle n’avait heureusement pas enlevé son jeans. Finalement, énervés par le bip-bip de la ceinture de sécurité qui était enlevée, ils se rassirent normalement tous les deux.

Nous arrivâmes enfin à l’appartement. Le propriétaire était là pour nous accueillir dans le hall de l’immeuble. Nous avions dû nous garer un peu plus loin, le parking de la résidence étant plein.

— Nous allons faire l’état des lieux ? demanda-t-il.

Je commençai à le suivre mais Jade me retint.

— Nous venons avec vous tous les deux… Pendant ce temps-là, mon mari va aller chercher les bagages dans la voiture.

Je commençai donc à faire demi-tour pour aller chercher les affaires (ma femme emporte toujours une tonne de vêtements, même pour deux jours).

— C’est au troisième étage, appartement 307. Attention, il n’ya pas d’ascenseur. À tout à l’heure, ajouta le proprio.

Je revins un bon quart d’heure plus tard, essayant tant bien que mal de transporter les bagages en un seul voyage. Ils venaient de terminer l’état des lieux et discutaient quand je posai les affaires dans l’entrée. Voyant cela, Jade me reprit et me dit assez sèchement en me montrant une porte du doigt :

— Enfin, voyons, tu ne poses pas les affaires ici : tu vas les mettre dans notre chambre. Tu as de la chance : tu as également une chambre ; ça t’évitera de dormir dans le canapé.

Elle avait décidé de faire comprendre au propriétaire que j’étais un cocu complaisant et de m’humilier. Ils me regardèrent faire en souriant. En sortant de la chambre, le propriétaire partit en ajoutant « Bon, je vous laisse. Amusez-vous bien ! » en faisant un très large sourire.

Je restai là sans bouger, ne sachant pas trop quoi faire. Jade me sortit de ma torpeur :

— Bon, tu ranges nos affaires dans les placards, tu passes un petit coup de serpillère ; tu sais comment je suis. Pendant ce temps là, on va faire un petit tour sur la plage. À tout à l’heure.

Ils revinrent deux heures plus tard et s’effondrèrent sur le canapé. Il devait être 18 heures. Je m’assis sur le fauteuil en face pour me poser un peu avec eux. Jade me demanda d’aller leur chercher à boire. Je sortis la bouteille de champagne qu’ils m’avaient demandée, leur servis une coupe à chacun et commençai à me servir.

— Non, pas d’alcool pour toi ! répliqua Jade. Si nous sortons et qu’il faut prendre la voiture, c’est toi le chauffeur, et un chauffeur ne boit pas.

Une fois servis, ils m’autorisèrent à m’asseoir sur le fauteuil en face d’eux. Il y eut alors quelques secondes de flottement. Je sentais Jade un peu gênée, mais Nicolas trouva les mots pour dissiper ce malaise :

— Alors, comment avance le dressage de ton mari ? lui demanda-t-il.

— Oh, comme tu vois, ça commence à porter ses fruits. Il est déjà bien obéissant. C’est surtout grâce à toi : tu sais trouver de bonnes idées.

Il me porta un regard furtif et chuchota à l’oreille de ma femme. Elle ne put s’empêcher de rire.

— Oui, c’est une bonne idée. D’ailleurs, on va expérimenter tout de suite.

Elle se leva alors et sortit de la pièce. Deux minutes plus tard, elle m’appela depuis les toilettes. Je frappai à la porte. Elle me dit alors :

— Nicolas a eu une très bonne idée, et en plus c’est écologique. Plutôt que d’utiliser du papier, je t’appellerai pour que tu me nettoies avec la langue après avoir fait pipi. Allons, ne perds pas de temps. Allonge-toi sur le dos, ce sera plus facile.

Je n’osais pas l’avouer, mais cette demande m’excita. Je m’exécutai et elle s’assit carrément sur mon visage. Le petit manège dura environ trente secondes. Je sentais l’odeur d’urine sur son sexe, mais très vite sa chatte fut toute propre. Nous revînmes ensuite dans le salon.

— Encore une très bonne idée, mon chéri, et mon mari fait ça à la perfection.

Là-dessus, ils s’embrassèrent en riant et il commença à la déshabiller.

J’étais toujours assis sur le canapé mais ils ne me calculaient plus du tout. En quelques secondes ils se retrouvèrent nus tous les deux. Elle se mit alors sur lui pendant qu’il enfilait une capote, attrapa sa queue et se l’enfila très sensuellement. C’était elle qui dirigeait le rythme et faisait les mouvements. Très vite il écarta ses fesses et commença à donner des coups de reins. Quand il lui mit deux doigts dans l’anus, n’y tenant plus, je me levai pour aller chercher l’appareil photo. Je m’attendais à me faire rembarrer mais je n’existais déjà plus pour eux. J’eus ainsi tout le loisir de prendre des photos. Ils changèrent ensuite de position. Elle s’allongea sur le dos sur le canapé et lui chuchota à l’oreille :

— Tu as envie de m’enculer ?

Sans même lui répondre il s’enfonça dans son petit trou. J’étais impressionné : sans préparation, il arrivait à s’enfoncer en elle sans problème. Jade était dans tous ses états, elle criait fort, comme à chaque fois qu’elle se faisait prendre par derrière. Très vite elle lui dit :

— Je suis ton vide-couilles, je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi.

Il le prenait méticuleusement, lui donnant de grands coups de reins, très profonds, mais pas très rapidement. Puis il accéléra en l’insultant :

— T’aimes ça, ma salope, te faire prendre par le cul… T’inquiète, tu vas en prendre tout le week-end…

Il continua à la prendre par derrière pendant de longues minutes. Jade hurlait. Elle devait en être à son troisième orgasme lorsqu’enfin il éjacula… Il se retira, fit un nœud et me jeta le préservatif usagé à terre pour que je le ramasse. Je me disais intérieurement que son amant était vraiment endurant : moi, j’aurais joui au bout de deux minutes, mais en regardant l’horloge je me rendis compte qu’il l’avait prise pendant près d’un quart d’heure. Je me sentais vraiment inférieur, et curieusement cette sensation m’excita. J’en étais à ces réflexions en revenant dans le salon quand Jade m’interpella, toujours sur le dos, les cuisses écartées, un pied sur l’épaule de son amant qui la caressait, l’autre par terre sur le tapis.

— Tu vois, mon petit cocu ; ça, c’est un vrai mec, qui me prend le cul et qui sait y faire. Sa queue est toujours raide, et surtout il tient longtemps.

Je baissai les yeux en m’asseyant, conscient qu’elle avait raison.

— Tiens, passe-moi l’appareil photo qu’on regarde les photos que tu as prises, me lança-t-elle.

En regardant les photos, Nicolas lui demanda l’appareil et la fit mettre à quatre pattes.

— Je vais en faire une autre qui va plaire à ton cocu ! dit-il.

Il lui demanda d’écarter ses fesses, et son trou béant s’ouvrit. Il prit deux ou trois photos, puis me dit d’un ton sec :

— Allez, lèche-lui le cul !

Je m’approchai mais la vision de ce trou grand ouvert ne m’inspirait pas du tout.

— Obéis, cocu, ou je te corrige ! insista-t-il.

J’obéis alors en entendant les clics de l’appareil photo.

— Enfonce ta langue ; je veux la voir rentrer en entier.

Jade était hilare. Cela lui plaisait qu’il m’humilie. Elle rajouta :

— Et encore, il n’y a pas de sperme. Il faudra vraiment qu’on pense à faire un test pour qu’il goûte ton foutre.

Finalement ils se levèrent, toujours nus, et allèrent dans leur chambre.

— Tu vas préparer le repas ; on veut manger pour 21 heures, dit Jade.

Je filai à la cuisine ; il était 19 h 30. En préparant à manger, j’avais en tête toute la scène qui venait de se dérouler devant moi. Ma femme en train de se faire enculer et insulter. C’était vraiment intense. Je n’arrêtais pas de regarder les photos. J’étais content car j’allais pouvoir mettre ces photos sur notre blog. On ne pouvait reconnaître l’endroit, et je n’avais qu’à flouter les visages. Après cette réjouissance (pathétique, je l’admets après coup en écrivant ces lignes), je me demandai ce qu’ils fabriquaient tous les deux. Une fois que le plat était à mijoter, je m’approchai de leur chambre et m’aperçus que la porte était fermée. Je décidai donc d’aller dans ma chambre et mis mon oreille contre le mur. Par chance, l’appartement était très mal insonorisé. Malheureusement, je n’entendais que le son de la télé. Déçu, je décidai de profiter de la vue du balcon. C’est en passant ma tête que je vis Jade debout contre la rambarde, en train de se faire prendre. Elle essayait de se retenir de faire du bruit pour ne pas attirer l’attention des passants dans la rue. Mais lui prenait un malin plaisir à la baiser de toutes ses f o r c e s. Je l’entendis lui susurrer à l’oreille :

— Tu te retiens de faire du bruit, salope ? Attends, je vais te faire couiner, moi.

Sur ces mots il lui claqua les fesses et la pilonna comme jamais. J’eus à peine le temps de prendre la caméra et de filmer quelques secondes. À la fin, elle lui dit en l’embrassant :

— Hmmm, tu t’es juste servi de moi pour te vider les couilles : j’adooore !

Puis ils se rhabillèrent et me rejoignirent dans la cuisine. Le reste de la soirée se passa plus ou moins normalement… si l’on considère que voir sa femme se faire peloter et embrasser toute la soirée est bien normal.

La nuit fut par contre très dure : de 23 h à 4 h du matin ils baisèrent au moins 5 ou 6 fois. J’étais réveillé toutes les heures et, ne pouvant rien voir, très frustré. Malgré l’interdiction, je ne pus m’empêcher de me branler ce soir-là, trois fois, tellement j’étais excité.

Au petit matin, mon réveil sonna pour préparer le petit déjeuner comme ils m’avaient demandé. Après avoir pressé les oranges et tout préparé, je frappai à la porte mais pas de réponse. Je décidai donc d’ouvrir pour déposer le plateau. Évidemment, ils dormaient à poings fermés (après la nuit qu’ils venaient de passer, tu m’étonnes…). Je déposai le plateau sur le bureau. Jade émergea à ce moment là.

— Viens un peu par ici, me dit-elle. Baisse ton pantalon.

Je me dis qu’elle allait m’accorder une faveur en me suçant pour me féliciter pour le petit déjeuner. Elle se contenta de sentir mon sexe de près.

— Pouah ! Tu pues le sperme d’ici ! s’agaça-t-elle. Je t’avais pourtant interdit de te branler.

— Mais je…

— Ne nie pas ! Nicolas, il s’est branlé cette nuit ; j’en étais sûre.

Son amant émergea et dit, encore endormi.

— Dis-lui de sortir, on règlera ça après avoir déjeuné.

— T’as entendu ? Sors d’ici, branleur. C’est pas étonnant que tu sois cocu : tu passes ton temps à te branler. Dégage, bande-mou !

Ils sortirent de la chambre une demi-heure plus tard. Jade était réellement mécontente. Elle m’ordonna de baisser mon pantalon et de me mettre à quatre pattes. Je m’attendais à ce qu’elle me fesse. La présence de son amant, spectateur de la scène, m’excitait. C’est lorsqu’elle annonça que ça allait être Nicolas qui allait me corriger que je pris peur. Avant que j’aie le temps de réagir, elle ajouta :

— Oui, je sais tu ne t’y attendais pas, mais tu le mérites. Tu as trahi ma confiance, et je n’aurai aucune pitié.

Je sentis la première claque s’abattre sur mes fesses alors qu’elle finissait sa phrase. Il était sportif et avait de la f o r c e , je le sentis tout de suite. Je n’en tirai aucun plaisir. J’avais vraiment l’impression d’être un e n f a n t puni. J’entendis alors le déclic de l’appareil photo : Jade imm o r t alisait le moment. Étrangement, ce fait m’excita réellement et rendit la situation beaucoup plus supportable. Au bout de cinq bonnes minutes, j’avais les fesses en feu. Il tapait vraiment fort. Jade dit alors :

— Encore dix claques, et tu vas compter.

Il avait pris de l’assurance.

— 1, 2, 3…

Arrivé à 7, je ne pus m’empêcher de laisser échapper une larme. La douleur et l’humiliation, je ne savais plus où j’en étais. Jade le remarqua.

— Regarde, mon chéri, mon petit cocu est en train de pleurer : ça, c’est une vraie punition. Allez, plus que trois.

Encore une fois, les mots de ma femme me rassurèrent, paradoxalement.

— Maintenant tu files dans ta chambre ; on ne veut plus te voir. Nous on va faire un tour. On se retrouve à midi. J’espère que cette punition t’aura remis les idées en place.

Après leur départ, je me précipitai dans la salle de bain : mon cul était rouge vif. Heureusement, la douleur partit assez vite, mais pas la honte.

En les retrouvant à midi, ils virent que mon attitude avait changé : je baissais vraiment les yeux, et quand son amant m’adressait la parole, je répondais « Monsieur ».

Le soir, nous somme sortis au restaurant. Jade alla aux toilettes juste avant les entrées. Deux minutes plus tard, il prétexta avoir un coup de fil à donner. Elle revint cinq minutes plus tard, réajustant sa robe : il l’avait baisée dans les chiottes du restaurant !

En repartant le soir, alors qu’ils marchaient bras dessus bras dessous et que j’étais derrière aux, je vis un mince filet blanc s’écouler le long de sa cuisse…

Randy Marsh

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